One Night Stand

La musique était à fond dans le club, le Dj jouait Runaway de Galantis. C'est là que je la vis près du bar. Je lui offris un verre qu'elle accepta avec joie. Elle opta pour la Grey Goose, mais moi, j'avais plutôt un penchant pour la Smirnoff. Ensuite on s'engagea dans une quelconque conversation ; conversation où, connaissant notre intention, aucune identité n'a été révélée ! 

Chaque parole qu'elle prononçait, ses lèvres pulpeuses me donnait un desir fou de l'embrasser avec passion. J'étais subjugué par ses seins au milieu de laquelle j'avais envie d'inhaler une bonne bouffée d'air comme j'ai l'habitude de le faire avec de la chicha dans les party des potes de la fac. Je ne pouvais m'empêcher de regarder ses cuisses avec envie de poser ma main dessus. Puis il y'a ses fesses ! Oh God ! That ass ! Si une femme peut avoir à elle seule toutes ces qualités, alors Dieu existe vraiment ! 

Peu de temps après avoir bu cul sec quelques verres, on se trouva dans ma voiture à galocher. Les battements de nos cœurs devenaient de plus en plus accélérés, on transpirait déjà. Ses fins doigts parcouraient déjà les veines de mon érection qui grossissait entre ses mains... Elle n'hésita pas une seconde à accepter lorsque je lui proposai de se rendre chez moi pour beaucoup plus de confort. Tout au long de la route, avec sa bouche, elle s'occupa de moi d'une dexterité qu'auparavant aucune femme n'avait fait preuve. Ignorant les risques encourus, elle continua avec ses va et vient juste au moment je fus pris d'un spasme de plaisir. J'avais du mal à tenir la ligne droite, je dépassais les 90, j'ai même brûlé deux feux rouges ; la sensation était tellement forte. 

Arrivés à la maison, les chiens du quartier n'arrêtaient pas d'aboyer comme si un esprit maléfique rôdait dans les parages. Les seuls esprits malsains de cette nuit là, étaient nous; et chacun se sentait bien dans sa peau. Pas de moralité, ni d'éthique, ni de retenus, ni de contraintes sociales; que du sexe ! 

C'était en été, comme il faisait excessivement chaud à l'intérieur on décida de le faire sur le balcon, à la belle étoile. On s'en foutait complètement si les gens du quartier nous voyait à travers leur fenêtre, l'essentiel c'était de prendre notre pied, et à fond ! 

L'avantage lorsqu'elles portent des robes c'est qu'on passe à l'acte beaucoup plus rapidement. En deux temps trois mouvements, sa jolie robe mauve se trouvait au niveau de son ventre en feu. Je commençais par caresser d'une main ses tétons en érection. Avec l'autre main, je lui donnais des petits coups profonds et souples pour stimuler son clito; ce qui l'a fait gémir tout en fermant les yeux. Elle ne cessait de me répéter de la prendre. Ce que je fis sans la moindre hésitation en l'appuyant fermement à l'angle de la balustrade. Lorsque je rentrai jusqu'à la racine elle cria de plaisir au beau milieu de la nuit. Tous les deux, poussâmes un profond soupir, soupir provenant d'une profonde satisfaction...

Pendant de longues heures, s'enfonçant profondément au cœur de la nuit, on s'est livré au moins trois fois de suite à la concupiscence de manière des plus bestiales que l'on puisse imaginer. Une fois repus et fatigués on s'est laissé tomber l'un à coté de l'autre, à même le sol, essayant de reprendre notre souffle. Jamais auparavant je n'avais rencontré une femme aussi excitante et excitée qu'elle. Elle était différente des autres. Beaucoup plus habile même que ma sexfriend... Contemplant la belle pleine lune, le sommeil et la fatigue eurent raison de moi.

Le lendemain matin, contrairement à mes précédentes aventures, elle était encore là, sa tête sur ma poitrine. Lorsque mes yeux endormis s'habituèrent à la lumière du jour, je poussai un grand cri d'effroi ! La femme d'hier soir n'était plus avec moi, mais un squelette portant sa robe ! Je ne me trouvais plus sur le balcon de ma maison mais sur une tombe ! Une tombe ! Je la reconnus tout de suite ! C'était celle de Baron Samedi  peinte en noir, avec ses nombreux vèvè blancs et rouges... Je paniquai ! Mon cœur battait à tout rompre car je venais de commettre la pire erreur de ma vie :

J'ai couché avec Grann Brigitte , la femme de Baron Samedi ! 

Manl3y B.Liz.R